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Tuesday, May 4, 2021

UGCB Hong Kong April 2021 - Bordeaux 2020 En Primeur Tasting


LeDomduVin at UGCB En Primeurs Vintage 2020 - Hong Kong April 2021


UGCB Hong Kong April 2021 

Bordeaux 2020 En Primeur Tasting




Une fois n'est pas coutume, je vais écrire ce « post » en Français. Alors voilà, Mardi 27 Avril, je suis allé à la dégustation de l’ UGCB (Union des Grands Crus de Bordeaux) des "Bordeaux En Primeur 2020" (au Rosewood Hôtel Hong Kong), pour me faire une idée du millésime et de la qualité de ses vins.




L'organisation de la dégustation

Merci à Cristina Carranco et Jiming Lu, de Business France China - Hong Kong office, qui ont fait du super boulot qu'en a l'organisation et au bon déroulement de cette dégustation, difficile à organiser et à préparer dans les conditions et la situation actuelles dues à la COVID-19 et aux restrictions qui s'imposent.

Organiser une telle dégustation tout en respectant les gestes barrières et les restrictions imposées dues au virus, n’est pas chose facile. Heureusement, l’équipe de Business France qui s’en occupe sait s’adapter en fonction des changements et des nouvelles restrictions, tout en essayant d’améliorer les conditions de dégustations et de ce fait l’expérience de la dégustation en elle-même à chaque événement. Chapeau !

L’année dernière en Novembre 2020, j’avais aussi dégusté les vins de l’UGCB au Rosewood Hôtel (millésime 2017). L’organisation faisait que nous ne pouvions être que 4 personnes maximum à déguster en même temps, dans une même salle, par session de 1h30 (sur rendez-vous uniquement). Les vins avaient été disposés sur des tables formant un rectangle au sein duquel 2-3 personnes de l'hôtel servaient les vins, au fur et à mesure que chaque dégustateur faisait le tour du rectangle pour goûter les vins. (Vous pouvez lire mon post - en Anglais - sur cette dégustation du millésime 2017, ici)

Alors, si on fait un petit calcul rapide, pour cette dégustation du millésime 2017, il n’y avait donc que 4 personnes par salle de dégustation (dans 7 salles en tout, reparties sur deux étages) et par session de 1h30 chacune (avec 5 sessions dans une journée), ce qui fait un total de 140 personnes maximum par jour, ce qui n’est pas beaucoup, tout en sachant qu’il y a toujours des désistements de dernière minute et d’autres qui ne viennent même pas. 

Et ce n'est vraiment pas assez pour promouvoir les vins de Bordeaux et assurer un minimum de ventes après coup, surtout quand on pense que l'UGCB Hong Kong accueille habituellement facilement 3 à 4 fois plus de dégustateurs (pro, connaisseurs et amateurs). Malheureusement, COVID-19 oblige, l'UGCB et Business France sont obligés de suivre les règles et de respecter les restrictions afin que la dégustation puisse quand même se faire.    

Pour cette dégustation du millésime 2020 « En Primeurs », afin d’accommoder le plus de participants possible et dans les meilleurs conditions possibles, (accessible la encore seulement par rendez-vous confirmé uniquement), les salles avaient été préparées pour pouvoir accueillir un nombre de personnes toujours limité, mais plus important que seulement 4 par salle, et pour un temps toujours délimité, mais  de 2h cette fois (ma session était de 12h45 à 14h45 par exemple).   

Par conséquent, pour le 2020, chaque salle de dégustation avait été arrangée, comme une classe d’école, avec une table par dégustateur et une douzaine de table environ par salle, ce qui multiplie par 3 le nombre de participants. Une bonne chose, le millésime 2020 étant bien meilleur que 2017 et donc suscitant bien plus d’intérêt pour de nombreux acheteurs (-euses) et dégustateurs (-trices) (*).





L'arrivée à l'étage de la dégustation, le formulaire à remplir

Etant arrivé avec 20 minutes d’avance, je pris le temps de faire quelques photos de cet hôtel somptueux tout en parcourant les couloirs me menant à la dégustation. Le Rosewood est un hôtel de luxe et de haut standards. Ça se sent et ça se voit, du sol au plafond, dès le premier pas dans le hall d’entrée, dans l’ascenseur, dans les couloirs et même dans les toilettes. Marbre partout, orné de boiseries rares, précieuses et même exotiques, où l’art est omniprésent, des peintures aux photos, en passant par les sculptures, poteries, porcelaines et autres objets de décoration, le tout arrangé de façon élégante, simple, sobre et sophistiquée a la fois, et dans les moindres détails. L’ambiance y est feutrée, riche, plaisante, confortable et accessible, « touchable », pas comme dans ces hôtels où tout est tellement beau mais tellement figé aussi qu’on a peur de casser quelque chose rien qu’avec le regard.

A l’entrée du couloir qui mène aux salles de dégustations, deux personnes derrière la réception m’interpellent avec un grand sourire, me prennent la température (36.5°C), me demandent mon « e-ticket » nominatif, le scannent, et me demandent de remplir un formulaire de déclaration de santé ( la procédure habituelle dans la plupart des endroits publics depuis le début de cette pandémie), consistant en mon nom, prénom, contact, plus quelques questions auxquelles il vaut mieux répondre « NON » si vous voulez déguster, du genre:

Avez -vous été infecté par le COVID-19 ?

Avez-vous voyagé en dehors de Hong Kong au cours des 14 derniers jours ?

Avez-vous été en contact avec quelqu'un qui pourrait être ou qui a été infecté au cours des 14 derniers jours ?

Avez-vous été dans des endroits où des cas infectés ont été signalés au cours des 14 derniers jours ?

La salle n’étant pas encore prête, je leur dis que je vais prendre quelques photos de plus. L’une d’elles me propose de me prendre en photo devant la grande photo de la dégustation avec le logo de l’UGCB, la preuve irréfutable que j’y étais. Quelle ne fut pas ma déception de réaliser en scrutant la photo, que peu importe la pose, les 6-8 kilos en trop que j’essaie de perdre depuis plus d’un an maintenant, sont plus que visibles et loin d’être très valorisants, ajoutant à mon physique déjà peu flatteur des rondeurs désavantageuses dont il n’a nul besoin. Mais bon, c’est la vie… surtout quand, comme moi, on aime bien manger et boire.



La salle et les règles à respecter,



La personne m’accompagne jusqu’à la salle numéro 3, où je vais passer les 2 prochaines heures à déguster les vins. L’impression de me retrouver dans une salle d’examens me traverse l’esprit à la vue des tables pour l’instant vides, où trônent 5 verres de vins, vides eux-aussi, une bouteille d’eau, un carnet de dégustation, un livret avec les descriptions et photos de chaque propriétés de l’UGCB, ainsi qu’une liste des vins de la dégustations afin de cocher ceux que l’on désire déguster et les règles à respecter (voir photo).

Parmi les 3-4 premiers dans la salle avec encore quelques minutes avant le début de la dégustations, j’en ai profité pour prendre les bouteilles en photos, faire des vidéos et des « Live » sur Facebook, avant de m'assoir a ma table.

Regardant la liste avec attention, j'essaie de faire une sélection des vins que je vais gouter parmi la centaine de vins présents. Deux heures ça passe vite, et je crains ne pas avoir le temps de tout gouter. Même en passant seulement environ une minute par vin, le temps du service en lui-même me fera perdre du temps.

En même temps que je sélectionne les vins qui me semblent être les plus présentatifs de leurs appellations respectives, en me basant sur mes 30 années d’expérience de gouter, déguster et boire les vins de Bordeaux, (moi-même étant Bordelais et petit-fils de vigneron des Côtes de Bourg et Côtes de Blaye), ainsi que sur mes souvenirs et résultats et annotations des 3 derniers millésimes (2017, 2018 et 2019) des vins de l’UGCB, je repense au millésime en lui-même aussi.





L'importance du Millésime et son influence sur les vins dits "En Primeur"



Que l'on soit Sommelier, Négociants, Cavistes, acheteurs pour la GD ou tout autres sortes d'acheteurs de vins (connaisseurs et amateurs inclus), il est toujours bon, et même important, de rester informé et de diversifier la source de ses informations sur les différentes conditions et qualités des millésimes, en fonction des régions et des appellations, (voir même des particularités de certaines propriétés sur des terroirs bien spécifiques), de la plupart des régions de France, mais aussi d'Europe et des grandes régions vitivinicoles du monde en général, et tout au long de l'année si possible.

La presse du vin ainsi que les réseaux sociaux et sites internet spécialisés sur le vin nous informe de façon quotidienne, et dans toutes les régions du monde, de façon consistante, et voire même de plus en plus précise. Pour n'en citer que quelques uns en dehors des magazines (tels que Wine Spectator, Decanter, La Revue des Vins de France, etc...) et des Wine Critics (James Suckling, Jancis Robinson, Jeb Dunnuck, Yves Beck, et j'en passe), il existe de nombreux autres sites tout aussi intéressants pour se renseigner sur les conditions des millésimes, comme: .




Cela permet de bien se préparer avant d'aller à ce genre de dégustation "En Primeur", où les vins sont très (trop ?) jeunes et leur goût encore très influencé par les facteurs de qualités (bons et/ou mauvais) du millésime (ainsi que ceux de la période des vendanges ainsi que du savoir-faire de celui ou celle qui fait le vin, ne pas l’oublier)(**).

Les vins sont à peine finis : certains ayant juste fini la fermentation malolactique, d'autres ont un assemblage qui a juste été réalisé pour l'occasion (mais ne sera pas forcement l'assemblage final), et bien sûr, tout en prenant aussi en considération que l'élevage en barrique vient à peine de commencer pour la plus part de ces vins, donnant une impression de vins trop boisés ou même astringents pour certains.

Je l’ai toujours dit et je le répète, à mon avis et de façon très imagée ou métaphorique si vous préférez, (les âmes sensibles sont priées de s’abstenir de lire la prochaine phrase et de passer de suite au prochain paragraphe), le vin « En Primeur » est comme un fœtus que l’on retirerai du ventre de sa mère avant l’heure, dans les premiers mois de sa conception, pour évaluer son état de santé et se faire une idée de son potentiel afin d’anticiper son évolution (voir éventuellement pour évaluer et corriger certains défauts dans certains cas), avant de le remettre dans le ventre de sa mère pour qu’il puisse finir son évolution avant le véritable accouchement plusieurs mois plus tard (c’est-à-dire, l’embouteillage après l’élevage en barrique dans le cas du vin).

D'où l’importance du millésime et de sa connaissance lorsqu’on goute « En Primeur ». Par conséquent, il est préférable de lire, ou relire, des articles sur le sujet auparavant, afin de se rafraichir l'esprit et avoir une idée un peu plus précise de ce qu’est ou devrait être la qualité des vins en fonctions des conditions du millésime et des évènements météorologiques et climatiques survenus durant le cycle végétatif de la vigne (de la mi-mars à la mi-novembre), incluant les conditions juste avant et durant les vendanges, pour le millésime en question.

Connaitre un minimum sur le millésime aide généralement à anticiper les conditions et qualités des vins « En Primeur » qui vont être dégustés, afin de pouvoir comprendre d'éventuels defaults, irrégularités et/ou angularités, pouvant être du a différents facteurs, suivant les conditions météorologiques et climatiques et de leurs influences sur la vigne et son évolution durant le cycle végétatif, durant les vendanges, et même éventuellement après, durant la fabrication et l'élevage des vins aux chais.



Les vins « En primeur » étant jeunes et, pour ainsi dire « inachevés », (ou en cours de développement et d’évolution, si vous préférez), sont donc, par conséquent, « fragiles », et peuvent facilement être affectés par d’autres facteurs externes, comme les conditions de stockage et de transport, entre le départ de la propriété et l’ouverture de la bouteille avant dégustation. Tous scenarios restent possibles, plausibles et imaginables.

Donc, en deux mots, voici un bref rappel des conditions climatiques du millésime 2020 a Bordeaux:

2020 a été une année assez bonne dans l'ensemble, mais variable en fonctions des appellations, qui a donnée des vins bons a très bons, voir même a des vins au potentiel exceptionnel pour certains Châteaux. Donc une année plutôt qualitative.


Les saisons et le cycle végétatif de la vigne ont suivi un schéma similaire à celui de 2016, 2018 et 2019, dans la mesure où le printemps fut humide, suivi d'un été sec et chaud, couronné par une récolte chaude et sèche. Contrairement à 2016 et 2019, c'était un millésime précoce - pas sans rappeler 2018 en termes de "timing".


Le débourrement précoce a conduit à une floraison plutot précoce, en mai, ce qui a été vraiment une chance, car la grande majorité des raisins rouges ont fini par être cueillis en septembre, juste avant les fortes pluies d'octobre.


En fait, les Bordelais ont eu de la chance, car, malgré les apparences 2020 a été une année très contrastée au niveau du temps, avec énormément de pluie de la mi-Avril a la mi-Mai, puis encore au début du mois de Juin, et de puissants orages de la mi-Aout jusqu'à fin Aout (surtout la nuit), donc énormément d'eau pour la vigne, qui a pourtant un petit peu souffert d'un petit peu plus d'une 50aine de jour avec un temps très sec entre la mi-juin et la mi-aout, certains parlant même de sècheresse durant cette période.








Au cours des semaines qui viennent de passer, j'ai pu lire, à droite à gauche, sur différents sites spécialisés et aussi dans la presse, ainsi que sur les réseaux sociaux, que le millésime 2020 est un « GRAND » millésime. Qu'il serait même le 3ème volet d' « une belle trilogie » de grands millésimes que serait 2018, 2019 et 2020, pour les vins de Bordeaux.

Ceux qui me connaissent bien savent que je ne jure que par mes papilles gustatives et ne me fie que très peu et très rarement aux notes (et aux descriptions) attribuées par les "Wine Critics" et autres dégustateurs reconnus, auxquelles je n’accorde pas vraiment l’importance qu’elles semblent encore avoir sur certaines personnes. Et ce depuis presque 30 ans de carrière dans le vin.

Ce qui ne m'empêche pas de lire ce qu'ils ont à dire sur le sujet, sans forcément être influencé d’une façon ou d’une autre, car il m’arrive souvent d’avoir une opinion complètement différente de la leurs sur certains vins. Donc, je ne prends jamais leurs notes et descriptions pour acquis. Comme pour tout, je préfère me faire ma propre opinion.

Mais, je les lis quand même à titre d’information, car c’est toujours intéressant et quelque part très informatif.

De plus, comme le disait dernièrement « Jeb Dunnuck », que je respecte beaucoup (* citation originale au bas de la page), un Wine Critic se doit d’être 100% indépendant, couvrir le cout de chaque vol, nuit d’hôtel, repas et mode de transport, lors de voyages et visites dans les régions vitivinicoles, lui-même. Et pour des raisons très compréhensibles, afin d’éviter le favoritisme, les influences et les avis biaisés, ne devrait jamais accepter les cadeaux des vignobles ou de la profession et ne devrait pas être impliqué dans la vente publique directe de vin non plus.

Malheureusement, la plupart des « Wine Critics » (les plus connus) font complétement l’opposé (de ce qui est écrit au-dessus), ce qui m’a toujours fait me demander, et ce depuis une bonne dizaine d’année déjà, où se trouvent la crédibilité, l'impartialité et la sincérité, de certains critiques de vin, quand on voit certaines images et lis certaines choses dans certains articles sur leurs sites internet et leurs pages sur les réseaux sociaux, au sujet de repas ou de bouteilles offertes. On est en droit de se poser la question, non ?

Je sens que je ne vais pas me faire que des amis à dire choses pareilles, alors je referme cette parenthèse et ne vais pas m’étendre sur le sujet des « Wine Critics » et des « Notes » ou « scores », car je l’ai fait a maintes reprises dans d’autres « posts » sur ce blog, que vous pouvez lire, si intéressés, ici et ici. Et je reviens au sujet principal de ce post, le millésime 2020 a Bordeaux.

Alors, si vous voulez mon avis sur le Millésime 2020, à Bordeaux, après avoir gouté les 100+ vins « En primeur » de ce millésime 2020 (104 ou 105 pour être plus exact), cette après-midi, je dirais que c’est un « bon » millésime, voir « très bon » pour certains vins, mais ce n’est pas un « Grand » millésime comme certains « Wine Critics » et journalistes l’ont dit et écrit, ainsi que ce que j’ai pu l’entendre et le lire de la part de ceux qui n’ont pas d’avis propre et ne font que répéter ce qui a été dit et écrit, (et croyez moi il y en a beaucoup).

Vous allez me dire que 100 vins, ce n’est pas assez pour se faire une idée générale, voir plus globale, du millésime et de la qualité de ses vins. Je vous l’accorde et j’en conviens. Mais… (car il y a un « mais ») …faut-il le rappeler, ces vins sont justement des grands crus qui sont supposés êtres les exemples a suivre de leurs appellations respectives, et donc devrait être très représentatif de la qualité des vins et du millésime (en général) dans ces appellations, non ? (Si je me trompe, dites le moi de suite, mais je ne crois pas…)

Donc, si on part de ce principe, en goutant une bonne dizaine de grands crus pour chacune des appellations, on devrait pourvoir quand même avoir un bon aperçu de la qualité des vins et du millésime en général à mon avis. Voilà pourquoi, malgré le fait de n’avoir gouté qu’une centaine de vins pour l’instant, je me permets d’affirmer que le millésime 2020 est un bon millésime, voire très bon pour certains vins, mais ce n’est pas un grand millésime.

Un « grand » millésime est un millésime, en général, qui est très réussi et homogène en terme de qualité et d’expressions des vins dans son ensemble et dans le majorité des appellations de la régions. Ce qui n’est pas le cas pour le millésime 2020. De part ce que j’ai gouté aujourd’hui, je peux dire (comme la plupart des années précédentes d’ailleurs), certaines appellations sont bien meilleures et plus expressives que d’autres, et au sein même de ces appellations, tous les vins sont loin de présenter les mêmes qualités, pour des raisons de savoir-faire (ou non) et des raisons purement géographiques et topographiques aussi.

Et la encore, quand je parle de savoir-faire, je ne vais pas me faire des amis (mais tant pis), mais il me faut admettre qu’il y a des gens qui savent faire du bon vin et d’autres pas malheureusement. Et comme chaque année, lors de la dégustation des Primeurs ou d’autres millésimes avec l’UGCB, c’est plus ou moins sans réelles surprises, celles et ceux qui font du bon vin continuent de faire et leur vins se dégustent très bien, et celles et ceux qui ne savent pas faire du vin, continuent de ne pas s’améliorer et de faire du vin qui est loin de la qualité requise pour leur appellation et classification et surtout pour le prix qu’ils en demandent.




Voilà c’est dit ! Je vais me faire lyncher, c’est sûr, surtout que je l’ai souvent écrit en anglais, sur ce blog, mais je crois que c’est la première fois que je l’écrit en Français. Je l’ai même dit dans l’une des vidéos de ce post.







******** post progression en cours, sera fini très bientôt  *******  




Merci d'avoir lu mon post, soyez prudents et prenez soin de vous et de vos proches.   

Santé, 

LeDomduVin (a.k.a Dominique Noël) 






(*) J'ai tout mis au masculin et n'ai pas forcement écrit de façon inclusive à chaque fois que j'ai écrit « dégustateur », « acheteur », « gouteur », « acheteur », etc… (et autres), en ajoutant « -teuse » ou « -trice » (ou quoique ce soit d’autre à chaque fois) afin d’inclure la gente féminine, pour la raison évidente et compréhensible de fluidité du texte. Donc, rien de personnel, et surtout rien contre vous mesdames, bien au contraire. Ce qui, et soyez-en sûr, ne m’empêche pas de penser à vous et de vous confirmer que vous êtes bien sûr incluses à chaque fois dans tous mes propos et les situations décrites dans ce post. J’ai beaucoup de respect pour toutes les femmes en général, et surtout celles qui travaillent la vigne et les métiers du vin, où règnent encore, (malgré de légères améliorations à ce niveau ces dernières années), une aura et une attitude patriarcal, diminutive, stigmatisante, voire misogyne dans certains cas, dans ce monde encore trop dominé par les hommes et leur bêtise.






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